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Surprise dimanche au Guatemala, un pays d’Amérique centrale: c’est Bernardo Arevalo, 64 ans, qui a été élu président avec près de 60% des voix. Il n’était pas le favori: les sondages prévoyaient qu’il arrive seulement à la huitième place. Plusieurs procédures judiciaires (par la justice) intentées (lancées) contre son parti ont aussi menacé sa victoire.
Mais après 12 ans de pouvoir de la droite (politique tournée vers le respect des traditions et l’importance des résultats économiques), Bernardo Arevalo a convaincu la population de changer de cap.
Fils du premier président guatémaltèque (du Guatemala) élu démocratiquement (librement), il est de centre gauche (politique tournée vers le changement, l’aide aux plus démunis, etc.). Il a promis de s’attaquer au problème de la corruption, très important au Guatemala. Il a en effet assuré qu’il prendrait des mesures pour éviter que du personnel de l’État s’enrichisse avec l’argent du peuple et puisse décider des règles qui lui soit favorables.
Sa tâche sera grande, car le Guatemala est confronté à beaucoup de violence, au trafic de drogue et à une grande pauvreté.
Journaliste : Léa Villalba – Illustrations : Amélie Bérubé – merci à The Noun Project